Myriam Desruisseaux-Joseph
Diplômée, technicienne en diététique, volet nutrition au CHU de Québec-Université Laval
« Ce que j’apprécie le plus de mon travail, c’est de contribuer au rétablissement des patients. Même s’ils se présentent souvent à moi en moment de faiblesse, je réussis à voir au-delà de cela, ce qui me permet d’en ressortir des expériences enrichissantes tout en essayant de leur offrir de la dignité même dans l’adversité. »
Marie-Anne Morin
Diplômée, technicienne en diététique au CHU de Québec-Université Laval
« Quelles merveilleuses années passées dans ce programme! Je ne peux passer sous silence tout le temps et l’énergie que les enseignantes et les techniciennes ont consacré à nous faire croître comme futures techniciennes en diététique. Je conserverai toujours en tête leurs connaissances et les compétences acquises. »
Marie-Ève Bois
Diplômée, inspectrice au ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ)
« Mon rôle consiste principalement à inspecter divers établissements pour évaluer les risques liés aux aliments, en réalisant des visites régulières, des suivis, des enquêtes ou des prélèvements, etc. C’est un emploi qui combine 70 % de travail sur la route et 30 % de tâches administratives, ce qui en fait un poste varié et loin d’être routinier.
Pour réussir dans ce domaine, il faut faire preuve d’organisation, de jugement et de débrouillardise, tout en faisant respecter les règlements. Ma partie préférée, c’est le contact avec les exploitants! »
Adam Landry
Diplômé, technicien en assurance qualité chez Biscuits Leclerc
« L’assurance qualité exige de maintenir à jour une multitude de documents techniques pour respecter des certifications internationales : il peut s’agir de fiches techniques d’ingrédients, des fiches d’allergènes, de certificats kosher ou de lettres de certification sans gluten ou sans arachides. Je participe aussi au processus de création, de substitution et d’élimination d’ingrédients.
C’est un domaine qui demande minutie, rigueur et capacité à travailler sous pression, en raison de la complexité des normes et de la rapidité des changements. Puisque le milieu est en constante évolution, les défis ne manquent pas! »
Yancie Gagnon
Diplômée
« Ma formation m’a permis de maîtriser plusieurs aspects du domaine, notamment la nutrition, la microbiologie et la gestion, ce qui m’a donné les connaissances nécessaires pour me lancer avec confiance dans des études universitaires en sciences et technologies des aliments.
Pendant ma formation universitaire, j’ai obtenu une bourse pour étudier en France, où j’ai aussi complété un diplôme d’ingénieur en Agroalimentaire – Génie Biologique et un Master en Nutrition et sciences des aliments. Étant très intéressée par le monde de la recherche, j’ai poursuivi au doctorat en Génie des procédés industriels, et je vise à devenir chef de projet en recherche et développement dans une entreprise agroalimentaire. »
Marie-Ève Laliberté
Diplômée, inspectrice spécialiste de la transformation des aliments à l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA)
« Mon rôle consiste à assurer la conformité des usines alimentaires aux lois canadiennes sur la salubrité, en réalisant des inspections variées comme le contrôle préventif, la collecte d’échantillons et la vérification des produits.
Ce travail me permet de relever des défis constants, car les secteurs évoluent sans cesse, du domaine de la transformation des viandes à celui des produits de l’érable ou de la mer.
Ce que j’aime à l’ACIA, c’est l’absence de routine : chaque journée est différente, entre les inspections sur le terrain et la rédaction de rapports, avec une grande autonomie dans la gestion de mon horaire. »
Amélie Côté
Diplômée, Technicienne en diététique au Centre hospitalier de l’Université Laval (CHUL) et assistante-chef technicienne en diététique à l’Hôpital de l’Enfant-Jésus
« Je m’occupe autant de la nutrition des patients que de la gestion des services alimentaires : visites à l’unité pour questionner les patients sur leurs goûts alimentaires, dépistage de problèmes comme la malnutrition, respect des normes d’hygiène et de salubrité, inventaire et commandes pour assurer l’approvisionnement et même la supervision du personnel. Je fais aussi la vérification de la courroie d’assemblage des plateaux de nourriture ou encore la prise de température des aliments et des réfrigérateurs.
La polyvalence de la profession fait en sorte que les tâches sont diversifiées et qu’il y a toujours des défis à relever pour se dépasser. »