Draguer ou ne pas draguer?

Les étudiantes et étudiants de 3e année en Technologie de la géomatique, profil Arpentage et géodésie, ont pris part à une activité sur le terrain des plus intéressantes! En effet, ils sont allés sonder le fond marin de la marina de Saint-Laurent-de-l’Île-d'Orléans avec un sonar monofaisceau afin de définir les zones où un dragage serait nécessaire afin d’augmenter la profondeur du bassin.

Pour ce projet, réalisé dans le cadre du cours Applications topométriques, ils ont pu compter sur le soutien et l’accompagnement de leurs enseignants, Valérie Kirouac et Benoit Hottote, ainsi que Germain Lévesque, technicien en travaux pratiques.

Avant d'en arriver au produit final, soit la détermination des zones à draguer et des profondeurs de dragage, les étudiantes et étudiants ont dû procéder au repérage, à la planification, à l’acquisition des données de référence planimétriques et altimétriques, au levé bathymétrique de validation, au levé bathymétrique principal, aux levés auxiliaires par lidar et GPS, puis finalement au traitement des données, à leur analyse et à la diffusion du produit final. On voit dans la vidéo du projet toutes les étapes qu’a dû franchir le groupe pour en arriver à un résultat final instructif et impressionnant!

Pour plusieurs étudiantes et étudiants, c’était la première fois qu’ils s’initiaient au domaine de la bathymétrie. Ils devaient également composer avec de nombreux défis, que ce soit au niveau de la préparation ou de la gestion des marées que du terrain sur lequel ils devaient installer leurs instruments.

Virginie Langlois

Finissante Technologie de la géomatique, profil Arpentage et géodésie

C’était vraiment intéressant de pouvoir travailler sur un projet réel et utile, avec plusieurs équipements différents. Ce projet m’a vraiment confirmé que je veux travailler dehors et dans des projets complexes de ce genre. J’aime que les défis soient variés.

Pierre-Olivier Roy

Finissant Technologie de la géomatique, profil Arpentage et géodésie

C’est une belle expérience, vraiment différente de ce que j’avais pu vivre en stage où j’ai fait principalement de l’arpentage résidentiel et pour la construction. Finalement, l’ensemble des participants et participantes étaient très fiers du déroulement et du résultat de ce projet pratique, démontrant bien l’une des nombreuses utilités de la géomatique!

Finalement, l’ensemble des participants et participantes étaient très fiers du déroulement et du résultat de ce projet pratique, démontrant bien l’une des nombreuses utilités de la géomatique

Catherine Dallaire

Conseillère en communication

Direction des communications et du développement institutionnel