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La mécanique du bâtiment, un choix gagnant pour Caroline Petitclerc

Caroline Petitclerc

Caroline Petitclerc était élève en secondaire 5 lorsqu’elle a entendu parler pour la première fois, par sa conseillère d’orientation, du programme Technologie de la mécanique du bâtiment du Cégep Limoilou. Le début d’une belle aventure qui se clôturera ce printemps alors qu’elle décrochera son diplôme d’études collégiales (DEC) dans ce programme! Lumière sur le parcours intéressant d’une étudiante dynamique et impliquée!

« Afin d’en savoir plus sur le programme, j’ai participé d’abord aux portes ouvertes. Durant ma visite, j’ai remarqué la complicité entre les enseignants et leur passion quant à la mécanique du bâtiment. J’ai décidé ensuite de participer à un avant-midi d’accueil, organisé par le Cégep. Cela m’a permis de revisiter les locaux de laboratoire, de voir d’autres enseignants et d’en apprendre davantage sur le programme. Les laboratoires m’intriguaient beaucoup et les cours de dessin sur AutoCAD m’intéressaient particulièrement. Ce qui m’a poussé à m’inscrire dans ce programme, c’est la possibilité d’une multitude d’emplois à la sortie du Cégep. Le taux de placement est excellent, les salaires sont compétitifs et il existe une panoplie d’emplois différents dans toutes les disciplines. Je me disais que pour toutes ces raisons, je n’avais rien à perdre! » explique d’abord Caroline.

Depuis son arrivée au sein de la technique, la jeune femme n’a pas chômé. Elle a d’abord remporté, dès la fin de sa première année d’études, la bourse Yves-Hamel, visant à encourager la relève en mécanique du bâtiment. Caroline a aussi pu bénéficier de l’Alternance travail-études (ATE), offerte dans le programme, qui lui a permis de réaliser deux stages rémunérés lors de la saison estivale : « Cette expérience m’a permis de voir la mécanique du bâtiment dans deux milieux bien différents, c’est-à-dire au public et au privé. Ça apporte une expérience incroyable, qu’aucun manuel ou enseignant ne peut nous montrer. On découvre nos qualités et nos défauts professionnels, en plus d’explorer le milieu avec des gens expérimentés. Je ne regrette aucunement mon choix d’avoir participé à l’ATE et je le recommande à tous. »

Elle a également participé à deux portes ouvertes en tant que bénévole pour présenter son programme aux visiteurs : « Il y a trois ans, j’aurais aimé moi-même discuter avec un étudiant afin qu’il me parle de sa vision des cours, des travaux et des projets. Pour ma part, je discute aujourd’hui avec les visiteurs de ce que c’est réellement, la mécanique du bâtiment, aux yeux d’étudiants comme moi, qui vivent le programme quotidiennement. Si j’avais un élève devant moi, je lui dirais que la mécanique du bâtiment est un domaine ayant une multitude de possibilités d’emplois. Il faut aimer chercher de l’information dans les codes et les normes, faire des calculs et apprendre continuellement, car c’est un milieu qui est constamment en développement. C’est une technique très dynamique avec des enseignants passionnés par leur domaine, qui nous transmettent au meilleur de leur capacité cette passion qui les habite! »

Caroline profite pleinement de son apprentissage au sein de la technique. Mais que préfère-t-elle dans le programme? « À la 5e session, on a eu un cours d’estimation qui nous montre à faire des relevés aux plans, à chercher des prix et à déposer un document de soumission. C’est l’un des cours que j’ai le plus aimé, comme il faut être attentif aux détails et être précis. Un autre élément très important, qui n’est pas en lien avec un cours en particulier, c’est qu’il n’y a pas de compétition dans la technique. On veut tous réussir et on s’entraide. Le but n’est pas d’avoir la meilleure note pour être le premier à avoir un emploi, le but est de réussir, de comprendre ce que l’on fait et d’aimer cela. Et c’est ce qu’il peut y avoir de plus encourageant, de savoir que tu n’es pas le seul à avoir de la difficulté dans tel examen. On est soudé avec les enseignants et cela crée une dynamique dans le département et un sentiment qu’on se sent à sa place! » raconte la jeune femme.

Alors qu’elle terminera son programme dans quelques mois à peine, qu’est-ce qui attend Caroline après ses études? « En sortant du Cégep Limoilou avec mon diplôme en poche, je compte d’abord travailler dans le domaine pour voir « la vraie vie ». Je n’élimine pas la possibilité d’aller à l’université, que ce soit à l’automne ou bien dans un an. Si je décide de m’inscrire à l’université, ce sera probablement pour me rapprocher du côté de la gestion, mais on verra, le temps nous le dira! » conclut-elle.

Félicitations, Caroline, pour ton beau parcours et ton implication dans la promotion du programme, et bonne chance pour la suite!

Catherine Dallaire

Conseillère en communication

Direction des communications et du développement institutionnel